mercredi 21 décembre 2016

Ma réinscription à la bibliothèque publique





Je suis une mordue de bouquins. 
C'est simple: je n'arrête pas. Lire me procure de merveilleuses émotions et je peux passer de la science-fiction à la poésie, au drame historique, au classique, à la biographie, à l'horreur en passant par des livres sur divers sujets: mes goûts sont assez éclectiques. 
Il m'arrivait souvent de rentrer dans une librairie "juste pour voir" et d'en ressortir avec 4 ou 5 livres, parce que le livre est un objet qui m'attire et que j'aime manipuler, que les couvertures me plaisaient ou que l'histoire semblait bien. 
Comme vous pouvez l'imaginer, acheter autant de livres représente un budget et tous les mois je devais me faire violence pour ne pas casser ma tirelire. Lorsque nous avons décidé de trier nos affaires, j'ai dû me rendre à l'évidence: j'avais des dizaines de livres que j'avais lu que je ne relirais pas et d'autres que je n'avais jamais ouverts. 
J'ai donc procédé avec la méthode "Konmari" et j'ai trié mes livres. Une première fois, puis une seconde. Je me suis séparée d'une bonne partie de ma collection. J'ai fait don des "élus" à la bibliothèque publique
C'est là que m'a sauté aux yeux l'évidence: dépenser autant d'argent pour des livres que je n'étais pas certaine d'apprécier et que je risquais de donner par la suite était du gaspillage. J'ai donc décidé de m'inscrire à la bibliothèque publique. 
Et waw! Quel plaisir d'avoir un fond presque illimité de livres que l'on peut emprunter gratuitement (la petite participation financière lors de l'inscription est rentabilisée dès le premier emprunt!). Et quelles économies! 
Il est vrai que je n'aurais sans doute pas les derniers romans modernes directement à ma disposition, mais il y a tellement de beaux récits à lire en attendant! 
De plus, avec un peu d'ingéniosité on peut toujours compléter le fond de la bibliothèque par des emprunts aux amis ou à la famille (ma belle-soeur m'a prêté le dernier Harry Potter, par exemple!) 
La bibliothèque publique permet de mettre à la portée de tous une quantité fantastique de livres sur tous les sujets. En partageant ainsi plus souvent des biens qui peuvent servir à la communauté entière, on pourrait éviter beaucoup de gaspillage des ressources naturelles

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